
Stan est chargée par son journal de retrouver et d’interviewer Dormier, un écrivain de talent qui a tout quitté, en pleine gloire, pour partir vivre en Afrique.
De Dakar à Saint-Louis du Sénégal, Stan découvre un monde, un rythme, une lumière, qui la séduisent et la transforment un peu plus chaque jour.
« Quelle est donc cette terre qui ne laisse personne la quitter indemne ? Qu’a-t-elle de si exceptionnel pour qu’on ne puisse s’empêcher, en s’éloignant, de jeter des coups d’œil furtifs derrière soi, comme si l’on avait perdu quelque chose d’essentiel ? »
Prix européen 1998 de l’ADELF ( Association des Ecrivains de Langue Française)
https://livre.fnac.com/a920897/Sylvie-Argondico-Le-toubab-de-saint-louis

La Latitude des Chevaux est un terme de marine qui désigne une zone de l’Atlantique où, autrefois, les navires immobilisés par l’absence de vent se voyaient contraints de jeter les chevaux à la mer.
C’est aussi, dans la vie, tous les sentiments, les pensées inutiles, que l’on est parfois obligé d’abandonner pour trouver la force de continuer.
Pierrot a soixante-neuf ans. Il est entouré de quelques amis fidèles, qui ont en commun une volonté farouche de ne jamais s’appesantir sur leur sort. Dans cet univers de gens simples, on blague, on joue à la belote, et on laisse la nostalgie dehors.
Mais à la lumière d’un événement aussi soudain qu’inattendu, Pierrot va devoir remettre en cause l’idée même qu’il se faisait jusqu’alors de l’existence.
« Un roman qui parle magnifiquement des petits bonheurs quotidiens, de l’ombre du temps qui passe, et de la force de l’amitié. »
Sélectionné pour le Prix Fnac 2003
Sélectionné pour le Prix de l’Armitière.
Prix 2005 du Lions Club de l’Ouest.
NB : « La Latitude des Chevaux » est actuellement épuisé chez l’éditeur. D’ici peu, il sera de nouveau disponible en version numérique. On vous tient au courant.

Nantes, fin des années 1960… Dans le quartier des Batignolles, entre les jardins maraîchers et les maisons de bois de la cité de la Halvêque, une enfant nous entraîne dans son royaume : un univers singulier, peuplé de livres et de plumes Sergent-Major, de berlingots et de muguet, de Shadoks et de 4 CV.
On la suit dans ses voyages immobiles, on partage sa perplexité devant les réactions mystérieuses des « grandes personnes », son inquiétude face à la mise en place des classes mixtes : les garçons, ces intrus braillards, cette horde de Huns, cette ethnie épouvantable en culottes courtes…
« En redessinant les contours d’un quartier et d’un mode de vie aujourd’hui disparus, ce récit drôle et sensible réveille l’enfant qui sommeille en chacun de nous. »
NB : « J’étais enfant » est actuellement épuisé chez l’éditeur. Il sera très bientôt disponible en version numérique.

Dans ce recueil destiné à saluer la mémoire du grand Aimé Césaire, philosophes, poètes, économistes et écrivains rendent hommage à « leur » Césaire et s’interrogent sur l’évolution du concept de Négritude.
C’est un grand honneur de voir mon hommage personnel à cet homme exceptionnel y figurer.
Vous pourrez retrouver l’intégralité de ce texte « Il est certains jours… » dans la rubrique Blog.
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